Développer les capacités des personnes handicapées reste la priorité pour ces entreprises, dont les clients s’appellent Renault ou Stellantis. Un tiers des salariés de l’usine intègre ensuite une entreprise classique.
Renault vient de signer un contrat de 6 millions € avec AMIPI, même si cela lui coûte 40 % plus cher qu’acheter des câbles en Afrique. « Quand on prend un peu de recul, explique Jean-Dominique Senard, Président du groupe de Renault, cette différence est largement compensée, au-delà de l’épanouissement des personnes concernées, par le bien-être de la société au sens large… »